En des glyphes formels, ici, le Geste épouse la Parole.

En un Geste hésitant, ici, le signe opère sur le nombre comme sur le monde.

Voici un lieu du verbe en acte, théâtre de la construction du sens par la forme...

Un terrain de jeu de la mathématique, connaissance élaborée par opposition à l'expérience reçue...

...Et c'est aussi le site de classe de la MP* du lycée Chaptal !

Ici, à venir, petit à petit, au fil des années, des offrandes à mes mannes et mes amis.
Certains seront publics, d'autres résevés à mes proches.

Hommage à Nana (ma soeur)
Hommage à Tontus/Robinson.
Hommage à l'ange Daniel
Hommage à Martine.
Hommage à Schutz.
Hommage à Walter, Alexis, Peter.
etc...

Pour l'instant, tout cela est en gestation.

J'ai toujours connu Marco Schutzenberger aussi âgé, aussi léger, aussi gracieux que la jeunesse même.
J'essaierai ici de raconter son inextinguible joie enfantine, et mes premières rencontres avec les mathématiciens...

Ici, je raconterai comment l'infini m'est arrivé à l'age de sept, par la corne d'abondance, par la lutte pour l'aînesse avec mon rival/ami Walter, et par la grâce de l'oncle Picsou...

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Un coup de dés...

« Un cube n'est jamais la somme de deux cubes, une puissance quatrième n'est jamais la somme de deux puissances quatrièmes et plus généralement aucune puissance supérieure à deux n'est la somme de deux puissances analogues.

 J’ai trouvé une merveilleuse démonstration de cette proposition, mais la marge est trop étroite pour la contenir. »

Pierre de Fermat, en marge de l'arithmétique de Diophante.