Samedi 23 Février 2013 :
 Grilles Journée portes ouvertes
au
(CPGE Scientifiques, Literraires et Comerciales, TOUTES filières. ).
 45 Boulevard des Batignolles 75008, M° Rome.
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Bonjour. Ici, le professeur de mathématiques de la MP* de Chaptal au clavier.
Bien entendu, vous trouverez à cette journée d'information tous les renseignements pratiques, généraux, particuliers, relatifs au lycée ou à l'institution... Mais cela, on le trouve partout, au détriment des raisons profondes pour lesquelles, en dehors d'un strict projet professionnel, on s'engage en Science, en Poésie ou en Histoire, sur l'un des vaisseaux du savoir...


C'est pourquoi, à titre personnel, j'essaierai de vous
donner une idée de ce qu'est la mathématique véritable,
( ce que les programmes de TS ne vous permettent guère
d'imaginer, au grand dam de vos professeurs...)
  Je vous parlerai de sa beauté, de sa difficulté, de sa
puissance, de la nécessité de l'abstraction pour saisir les
choses les plus concrètes, de ses rapports subtils avec les
autres sciences, de pourquoi le monde semble obéir à une
construction de l'intellect humain... et je m'efforcerai de
répondre à toutes vos questions. (Mathématiques, scolaires,
professionnelles, inquiètes ou curieuses, naïves ou subtiles,
générales ou personnelles, toutes sont bonnes à poser !)  

À ce jour, je ne sais pas en quelle salle je pourrai ouvrir ce «libre parloir»,
mais cela sera sans doute indiqué à l'accueil, au jour dit...

Au plaisir de vous rencontrer,
PF Berger, professeur de mathématiques 
de la MP* du lycée Chaptal.

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Un coup de dés...

« Ayant été obligé de garder la chambre pendant quelques jours, et même occupé à faire des observations sur mes deux horloges de la nouvelle fabrique, j’en ai remarqué un effet admirable, et auquel personne n’aurait jamais pu penser. C’est que ces deux horloges étant suspendues l’une à côté de l’autre, à la distance d’un ou deux pieds, gardent entre elles une justesse si exacte, que les deux pendules battent toujours ensemble, sans jamais varier. Ce qu’ayant fort admiré quelque temps; j’ai enfin trouvé que cela arrivait par une espèce de sympathie: en sorte que faisant battre les Pendules par des coups entremêlés, j’ai trouvé que dans une demi-heure de temps, elles se remettaient toujours à la consonance, et la gardaient par après constamment, aussi longtemps que je les laissais aller. »

Christian Huyghens.